Que je sois là, le ciel n’en est pas mieux loti,
Que je parte, il n’en reste plus grand ni plus petit.
Jamais nul n’est venu me souffler à l’oreille
Pourquoi je suis venu, pourquoi je suis parti.
(Homar Khayam)
Que je sois là, le ciel n’en est pas mieux loti,
Que je parte, il n’en reste plus grand ni plus petit.
Jamais nul n’est venu me souffler à l’oreille
Pourquoi je suis venu, pourquoi je suis parti.
(Homar Khayam)