Hélas, usés pour rien sous le fardeau des ans,
La grande faux du ciel nous laisse pantelants.
Douleur! Remords! A peine un clin de nos paupières,
Nous voilà malheureux, puis rendus au néant.
(Homar Khayam)
Hélas, usés pour rien sous le fardeau des ans,
La grande faux du ciel nous laisse pantelants.
Douleur! Remords! A peine un clin de nos paupières,
Nous voilà malheureux, puis rendus au néant.
(Homar Khayam)