Après 5 ans d’absence, Murdoc Nicalls & Co. débarque de leur île secrète « Plastic Beach ». Dans leur univers virtuel, cette île est composée de détritus et des restes de l’humanité et surtout c’est une île flottante située actuellement dans le pacifique sud. Il y a beaucoup de collaborations sur l’album, un peu comme d’habitude, mais toujours avec autant de savoir faire et de talent. Le concept est d’arriver sur « Plastic Beach » mais par différents moyens d’où les différentes sonorités et univers créés par chaque chanson et son featuring.
Encore une fois, c’est un OVNI que livre Gorillaz. Album doté de ballades, de beats bien cadencés et autres créations comme sait le faire le groupe. Je le trouve cependant moins accessible que ses prédécesseurs à la première écoute mais la suivante remet dans le droit chemin. Gorillaz tient sa promesse et nous un bon album.
Tracklist:
1. Orchestral Intro (avec Sinfonia ViVA) – 2. Welcome To The World Of The Plastic Beach (avec Snoop Dogg) – 3. White Flag (avec Kano & Bashy) – 4. Rhinestone Eyes – 5. Stylo (avec Bobby Womack et Mos Def) – 6. Superfast Jellyfish (avec Gruff Rhys et De La Soul) – 7. Empire Ants (avec Little Dragon) – 8. Glitter Freeze (avec Mark E Smith) – 9. Some Kind Of Nature (avec Lou Reed) – 10. On Melancholy Hill – 11. Broken – 12. Sweepstakes (avec Mos Def & Hypnotic Brass Ensemble) – 13. Plastic Beach (avec Mick Jones & Paul Simonon) – 14. To Binge (avec Little Dragon) – 15. Cloud Of Unknowing (avec Bobby Womack) – 16. Pirate Jet