Une amélioration que ne partage pas M. Besson, qui réside au Québec depuis 15 ans. «La bactérie C. difficile n’est que la pointe de l’iceberg, car plusieurs autres maladies nosocomiales ne sont pas connues puisque les hôpitaux ne sont pas obligés de les dévoiler. Nous demandons que cette politique de dénonciation obligatoire soit revue».
Notons qu’au Québec, 90 000 personnes par année sont touchées par une infection nosocomiale, et 4000 en meurent.
(NDLR : Qui répond de ces 4 000 morts? Personne, car l'État est juge et parti.)