
Selon le site Defective by design [NdR : défectueux par nature], les conséquences de la présence de DRM (ou Digital Rights Management) ne s'arrêtent d'ailleurs pas là. Ils permettent également de garder une trace de l'activité du consommateur (un peu comme une puce de flicage) et de faire des rapports aux sociétés qui en ont demandé l'intégration.
« Les DRM attentent à votre liberté à deux niveaux. Leur but et d'attaquer votre liberté en limitant l'usage des exemplaires des oeuvres publiées. Cela signifie que l'on vous contraint à utiliser des logiciels propriétaires, ce qui implique que vous ne maîtrisez pas leur action. Quand les sociétés s'organisent pour concevoir des produits qui nous restreignent, nous devons nous organiser pour les vaincre », explique le président de la Free Software Foundation, Richard Stallman...
Plus d'informations sur le site Defective by Design.
L'occasion également pour nous de vous rappeler la conférence que nous animerons, durant le Salon du livre, autour de la thématique des DRM, justement, le 28 mars, à 11h, au Salon du livre de Paris.