Je n'aime pas la modération. Ce mot ne fait pas partie de mon vocabulaire. Mais Internet est ainsi fait que délation et procès d'intention y prennent une surprenante, insistante vigueur. Je modère, donc. Désolé pour les amis. Quand des esprits éclairés, des passionnées de littérature, donnent de leur temps et paient de leur personne, ce n'est pas pour faire face à l'aigre médiocre ressentiment, je ne laisserai donc pas celui-ci s'étaler dans toute sa pathologique complaisance. Aller sur un chemin de connaissance. Voir ce qui nous est donné. On jugera après. Quand on sera mort.