- Isolées et protégées de l'homme par leur climat extrême, les terres australes et antarctiques françaises ont conservé une biodiversité remarquable. La Cité des sciences et de l'industrie présente ces richesses jusqu'au 2 mai.
Contrairement au Kenya où j'ai eu la chance de séjourner, les terres australeset leur environnement majestueux je ne saurai mieux vous les faire partager que :
Grâce au diaporama de Pauline Fréour, journaliste au Figaro.
Elle s’étend sur l’ensemble des parties terrestres de Crozet, Kerguelen, Saint-Paul et Amsterdam et couvre une grande partie des eaux qui les entourent.
Également édifiées en réserve naturelle, les îles Éparses, parmi lesquelles Juan de Nova (notre photo)." title="Les manchots des terres australes, et oui encore eux ...." />
Elle s’étend sur l’ensemble des parties terrestres de Crozet, Kerguelen, Saint-Paul et Amsterdam et couvre une grande partie des eaux qui les entourent.
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Elle s’étend sur l’ensemble des parties terrestres de Crozet, Kerguelen, Saint-Paul et Amsterdam et couvre une grande partie des eaux qui les entourent.
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Elle s’étend sur l’ensemble des parties terrestres de Crozet, Kerguelen, Saint-Paul et Amsterdam et couvre une grande partie des eaux qui les entourent.
Également édifiées en réserve naturelle, les îles Éparses, parmi lesquelles Juan de Nova (notre photo)." border="0" /> L’abondance et la spécificité de la faune et de la flore de ces territoires aux climats extrêmes en font des sanctuaires de biodiversité ayant peu d’équivalents à l’échelle planétaire. Créée en 2006, la réserve naturelle nationale des Terres australes françaises couvre 700.000 hectares, ce qui en fait, de très loin, la plus grande de France.
Elle s’étend sur l’ensemble des parties terrestres de Crozet, Kerguelen, Saint-Paul et Amsterdam et couvre une grande partie des eaux qui les entourent.
Également édifiées en réserve naturelle, les îles Éparses, parmi lesquelles Juan de Nova (notre photo). Taaf
Les Taaf n’ont pas d’habitants permanents. Il faut en moyenne cinq jours au navire pour parcourir les 3.000 km qui séparent ces territoires de l'île de la Réunion, leur port d'attache." />Marion Dufresne (ici, à l'approche de l'île d'Amsterdam), qui assure le ravitaillement et le transport des hommes présents sur place - scientifiques ou militaires.
Les Taaf n’ont pas d’habitants permanents. Il faut en moyenne cinq jours au navire pour parcourir les 3.000 km qui séparent ces territoires de l'île de la Réunion, leur port d'attache." title="Les manchots des terres australes, et oui encore eux ...." />Marion Dufresne (ici, à l'approche de l'île d'Amsterdam), qui assure le ravitaillement et le transport des hommes présents sur place - scientifiques ou militaires.
Les Taaf n’ont pas d’habitants permanents. Il faut en moyenne cinq jours au navire pour parcourir les 3.000 km qui séparent ces territoires de l'île de la Réunion, leur port d'attache." />Marion Dufresne (ici, à l'approche de l'île d'Amsterdam), qui assure le ravitaillement et le transport des hommes présents sur place - scientifiques ou militaires.
Les Taaf n’ont pas d’habitants permanents. Il faut en moyenne cinq jours au navire pour parcourir les 3.000 km qui séparent ces territoires de l'île de la Réunion, leur port d'attache." title="Les manchots des terres australes, et oui encore eux ...." />Marion Dufresne (ici, à l'approche de l'île d'Amsterdam), qui assure le ravitaillement et le transport des hommes présents sur place - scientifiques ou militaires.
Les Taaf n’ont pas d’habitants permanents. Il faut en moyenne cinq jours au navire pour parcourir les 3.000 km qui séparent ces territoires de l'île de la Réunion, leur port d'attache." border="0" /> Situés en moyenne à 13.000 km de la métropole, les archipels de Kerguelen et de Crozet, ainsi que les îles Saint-Paul et Amsterdam, ne sont accessibles que par la mer. C'est le Marion Dufresne (ici, à l'approche de l'île d'Amsterdam), qui assure le ravitaillement et le transport des hommes présents sur place - scientifiques ou militaires.
Les Taaf n’ont pas d’habitants permanents. Il faut en moyenne cinq jours au navire pour parcourir les 3.000 km qui séparent ces territoires de l'île de la Réunion, leur port d'attache. Lucia Simion
Marigotine