Jusqu’au 14 mars, nous vous proposons 13 raisons de soutenir Jacques BIGOT et sa liste L’Alsace plus juste, une région plus forte.
JACQUES BIGOT,
UNE PERSONNALITÉ D’EXPÉRIENCE
À L’ÉCOUTE DE SES CONCITOYENS
Jacques Bigot est avocat de formation. Après s’être longtemps investi dans la défense des consommateurs (il préside la Chambre de Consommation d’Alsace jusqu’en
1993, où il est le premier à engager un conseiller en environnement), il est devenu maire d’Illkirch-Graffenstaden en 1995.
Les premières mesures furent celles d’un assainissement de la gestion et de l’administration de la municipalité illkirchoise, fortement endettée. A partir des
années 2000, Illkirch-Graffenstaden devint même un modèle de gestion saine, avec notamment une dette de 270€ par habitant (contre une moyenne nationale de 1 072€ par habitant pour les communes du
même gabarit).
En 2008, en devenant le premier président non-strasbourgeois de la Communauté Urbaine de Strasbourg, Jacques Bigot est reconnu dans sa capacité à bien mener l’action publique d’une grande collectivité locale. Régionaliste et décentralisateur convaincu, Jacques Bigot a toujours favorisé les missions de proximités et d’efficacité. Il a en effet tracé son parcours sur une liberté de ton reconnue au sein même de sa famille politique.
Outre les mesures d’assainissement de la gestion municipale, Jacques Bigot prit ensuite les mesures qui transformèrent Illkirch-Graffenstaden : développement d’une
offre de services à la population, notamment dans le domaine de l’enfance et de la petite enfance, transformation de l’espace urbain avec la naissance réussie d’un centre-ville, mais aussi une
réorganisation du transport avec l’arrivée du tram ; re-naturation de la ville avec des politiques énergétiques volontaristes, aussi bien dans le bâti (service municipaux, écoles, club-houses,
etc.) que dans le parc des véhicule ou sur la voie publique. La municipalité et ses services sont tenus à une politique d’exemplarité en la matière. Désormais, Illkirch-Graffenstaden est très
régulièrement décrite comme une « petite Fribourg », et fait souvent référence en matière de volontarisme écologique. Au-delà du classement en zone naturelle de la forêt d’Illkirch, la nature est
« invitée en ville » avec, par exemple, l’abandon des produits phytosanitaires dans l’entretien urbain.
Très dernièrement encore, le Conseil Municipal illkirchois a ouvert la réflexion sur le retour des arbres fruitiers mais aussi du déplacement animal en ville pour certains types de missions de service public (essentiellement dans l’entretien du parc floral). Ce volontarisme se retrouve désormais à la Communauté Urbaine de Strasbourg qui est entrée aujourd’hui dans une démarche de plan climat.