Enorme..!

Publié le 03 mars 2010 par Jfa

Je vous livre la lettre en date du 24 févrirer 2010 que le Recteur de l’Académie de Nice, Chancelier des Universités, Christian Nique, vient d’adresser, sous la référence CAB/SC/2010,  au Président de l’Université de Nice, à l’administrateur provisoire de celle de Toulon et au directeur du Crous.

“A compter du 1er mars 2010, dans le cadre de la période de réserve électorale, je vous rappelle que les fonctionnaires de l’état doivent s’abstenir de prendre part aux cérémonies et réunions publiques et ce jusqu’au 21 mars 2010 inclus.

Je vous demande de veiller à l’application stricte de ce principe républicain et de me rendre compte de tout difficulté que vous pourriez rencontrer”.

A quant un bracelet électronique couplé au système GPS pour surveiller les enseignants niçois qui ne doivent donc plus assiter au moindre meeting, à la moindre réunion publique de la campagne des Régionales?  Assiste-t-on à la militarisation de la fonction publique ?

Et heureusement que N. Sarkozy trouve qu’on traite mal les fonctionnaires…

- Réalités européennes: “Le commissaire européen Barnier rassure les fonds spéculatifs”. Libération. Les mêmes qui spéculent contre l’Euro…

- “L’innocuité de la pomme de terre transgénique mise en cause”. Le Monde.

- “Les péquenots en métro, laissez-nous nos autos!”. Libération.

- Retraites: la réforme des frères Sarkozy. Rue 89.

- Tempête… Incompréhensible ? Blog de JF Kahn.

- “La finance a toujours été la puce qui sur le dos de l’économie s’abreuve de son sang. Mais comme nul ne l’ignore, quand un animal est devenu un « sac à puces », c’est sa santé-même qui est en danger. Et le parasite peut désormais tuer la bête”. Blog de P. Jorion . Un autre extrait ? “celui qui pollue trop achètera le droit de le faire à celui qui pollue moins. Et pour faire bonne mesure, ce seront les banquiers qui veilleront à ce que les choses se passent comme il faut – pour un prix raisonnable”.

- “L’imprécateur”. Actu bien pris tes comprimés? “Fils de l’ordure, tes poumons noircissent l’air, ta vessie pourrit l’eau. Il n’est plus de fleuve sans le fiel de tes reins, plus de plante sans l’odeur de ta fiente. Ton regard saigne le beau, ta salive tue le vrai. Pars! Meurs! Rends la maison à la pureté du matin”.