Pour ceux qui comme moi auraient un peu de mal avec l'anglais vernaculaire de Stoney, Folkstreams a mis en ligne une trabscription des dialogues qui vous permettra de goûter tout le sel de la tchatche du bonhomme. [ici]
J'ai trouvé ce lien tout à l'heure sur le blog de Max Schaaf, cliqué dessus par hasard et j'ai passé une extraordinaire demi heure en compagnie de Stoney St. Clair, tatoueur old school. Le
parcours du bonhomme ressemble à un roman américain : atteint d'arthrite rhumatoïde à l'âge de quatre ans, il est condamné à la chaise roulante. A quinze ans, il devient avaleur de sabres dans un
cirque. Quelques mois plus tard, il rencontre son premier tatoueur auquel il montre un dessin. Ce dernier l'encourage en lui donnant du papier, des crayons, un stencil et deux vieilles machines à
tatouer. 50 ans plus tard, il est l'un des dernier maîtres du tatouage old school encore en activité (le film a été réalisé en 1981). Sa technique virtuose peut en remontrer à bien des kékés
pseudos artistes d'aujourd'hui et la qualité de ses compos est un monument à l'art populaire. Un beau document, une tranche de vie exemplaire et un personnage de toute beauté. A la fin du doc, on
voit même Don Ed Hardy se faire tatouer. Bel hommage...
Pour ceux qui comme moi auraient un peu de mal avec l'anglais vernaculaire de Stoney, Folkstreams a mis en ligne une trabscription des dialogues qui vous permettra de goûter tout le sel de la tchatche du bonhomme. [ici]
Pour ceux qui comme moi auraient un peu de mal avec l'anglais vernaculaire de Stoney, Folkstreams a mis en ligne une trabscription des dialogues qui vous permettra de goûter tout le sel de la tchatche du bonhomme. [ici]