Bonjour les gras,
Mercredi, c’est goûter Point de Vue et Kinder Maxi.
Pour la Princesse Camilla, c’est plutôt Maltesers dans la portière de la voiture. C’est que ça doit être long les trajets avec Charles pour aller à la chasse en Ecosse.
Premier constat de la semaine : les Bafta ont largement surpassé les César. William en est le nouveau président et Vanessa Redgrave a quand même mille fois plus la classe que Laetitia Casta et son air de Mars Attacks.
Nous sommes d’accord.
Le mari de Nicole Kidman a assisté aux compétitions de patinage artistique des JO et a fait sourire Nicole avec ses jumelles en forme de tête de caribou. Elle en a claqué son lifting.
Une petite interview du directeur artistique du maquillage Chanel. Pas de vernis 505 (pour Jean-Jacques, qui ne sort pas du master 203, le 505 est le it vernis trop beau de la mort complètement tendance dont raffolent toutes les modasses qui font le pied de grue chez Séphora parce qu’il est en rupture de stock partout. Oui, évidemment, moi aussi je l’ai, qu’est-ce que tu crois !)
Il a créé un nouveau rouge à lèvres, le Rouge Coco, dont toutes les teintes ont des noms en rapport avec l’univers Chanel : Camélia, Cambon… Ils sont vraiment beaux. Oui, maintenant que je suis devenue une grosse snob qui se maquille en YSL et Chanel, je plane sur des rouges à lèvres à 20 €.
Pour Simon et Pierre-Marie, exilés à DC pour un an, voici une idée d’expo. La battle des diamants bleus. Le premier, Hope, est celui de Louis XIV retaillé. Le second, Wittelsbach, vient des rois de Bavière. Ils sont exposés jusqu’à fin juillet. Quand la grande joaillerie rencontre l’Histoire, c’est mieux que la discussion sur la couleur de la pierre de la bague de fiançailles de ta sœur.
Et enfin, l’Élu de la semaine pose en costume à rayures sur une chemise à carreaux et une cravate à petits pois. Ca reste plutôt GQ dans l’âme, mais gare au fashion faux pas.
Ses chemises viennent de chez Charvet, rien à voir avec David. Sa montre est une Cartier, son eau de toilette vient de chez Piquet et il relit Guerre et Paix.
Cette chronique est une série de rimes pauvres.