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Trois heures et quart,dans mon placard.Quand à la rime, elle repassera, un autre jour,pour m'faire sa cour,et tenir compagnie aussi. Avec une rythmique d'appellation d'origine contrôléeet sa poésie de surfacequi ne s'embarrasse pas de préambule et ficèle au carréune expression codifiéedans les tiroirs de l'académie.
Trois heures et sa moitiéjoli couple ma foi;On dirait même qu'ils ont été pensé l'un pour l'autre,comme le vent qui met les voiles,La lune trop timide en cache derrière un nuageLa nuit dans belle de jour et toutes les rimes unanimes qui, tu vois,finissent toujours par revenir...par la fenêtre.
Quatre heures moins le quartpour les fait tardet tous ceux qui la mettent en veilleuseet jouent au solitaireen causant à leur ombre.
Tu l'as pris ton quatre heures?Non j'suis trop dé-goûter.Juste une pomme alors, à l'eaupour endormir le sommeilqui revient souvent dans ces moments làalors qu'il n'avait que la permission de minuit.Mais voyez-vous, c'est un rebelle qui n'en fait qu'à sa tête et il faut souvent lui remettre les pendules à l'heure.
Quatre heures un quart.Ah merci bien.Mais y a pas de quoi!