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Avec le mois de mars débarque tout un tas de nouvelles expositions. Et donc de vernissages. Hier, Monique nous a emmenés Vivien et moi à la toute nouvelle exposition du musée de la Vie Romantique consacrée à Chopin. Jusqu'alors, notre record avait été de 15 minutes dans l'exposition consacrée au papyrus médical du Louvre. Là, ce fut 15 minutes... en comptant les escaliers, les changements de bâtiments et les petits vieux qui bouchent le passage. Oui, il y en avait pas mal, et à nous trois nous faisions baisser la moyenne d'âge d'une bonne cinquantaine d'années.15 minutes, c'est extrêmement rapide. Mais ceci a une explication. Tout d'abord, une absence de parcours dans l'exposition, ou alors une absence d'indication de parcours. Et qui dit absence d'indication de parcours dit bien souvent incompréhension totale du propos. En bons étudiants en histoire de l'art, nous avons lu les panneaux de salle à la recherche d'indications pouvant éclairer nos lanternes. Oui ben on a continuer à évoluer dans le noir total... Que dis-je, dans le crépuscule, aube de la nuit. Dixit un texte de salle, un texte incompréhensible parmis tant d'autres.Je ne saurais que dire de la scénographie. Si-ce n'est que les cartes de visite du fleuriste qui a créé les compositions florales qui trônent sur les pianos à queue sont du plus mauvais goût.Mais au milieu de tout ça, nous avons pu admirer le portrait du compositeur par Delacroix. Et ça c'est tout de suite pas mal du tout. Mais c'est tout...Heureusement que l'entrée se faisait sur invitation...! Lo, pas prête d'y retourner