Tout tient semble-t'il dans une combinaison de charisme personnel, de notoriété pure et simple, des talents de l'agent représentant l'athlète et du pays dans lequel les contrats opèrent. L'amérique semble toujours le meilleur endroit pour y gagner le plus d'argent tandis que les athlètes de sports d'hiver européens auraient sans doute plus de mal à gagner autant. Certes, si un athlète à la chance d'être le seul du genre dans son propre pays, il lui sera possible de gagner d'avantage (exemple de Maria Riesch en Allemagne, qui gagne 1 million de dollars par an). Dans les Alpes, un champion olympique de ski de fond ne gagnera jamais une fortune et je doute personnellement que le Suisse Didier Défago, le champion olympique de descente à ski, puisse tirer le maximum de sa médaille d'or. Par contre, si l'autre Didier (Cuche) avait gagné, il aurait encaissé beaucoup plus, mais là encore, qui peut vraiment le dire?
Tout tient semble-t'il dans une combinaison de charisme personnel, de notoriété pure et simple, des talents de l'agent représentant l'athlète et du pays dans lequel les contrats opèrent. L'amérique semble toujours le meilleur endroit pour y gagner le plus d'argent tandis que les athlètes de sports d'hiver européens auraient sans doute plus de mal à gagner autant. Certes, si un athlète à la chance d'être le seul du genre dans son propre pays, il lui sera possible de gagner d'avantage (exemple de Maria Riesch en Allemagne, qui gagne 1 million de dollars par an). Dans les Alpes, un champion olympique de ski de fond ne gagnera jamais une fortune et je doute personnellement que le Suisse Didier Défago, le champion olympique de descente à ski, puisse tirer le maximum de sa médaille d'or. Par contre, si l'autre Didier (Cuche) avait gagné, il aurait encaissé beaucoup plus, mais là encore, qui peut vraiment le dire?