Oui, j'aime bien le pain, ici, un focaccia au romarin. J'aime aussi le grillé et l'inondé d'huile d'olive, de vinaigre balsamique et de sel de mer.
Mais j'adore avec un oeuf. Oui, les oeufs et mois entretenons une relation étroite. On se voit quatre ou cinq fois/semaine. Tant qu'on les traite bien, on peut profiter de leurs riches qualités et de leur impressionnante polyvalence.
Éclater le jaune est un plaisir dont je ne me lasse pas, me décevant seulement quand, débordant dans l'assiette, je n'arrive pas à l'estomper complètement avec mon pain.
Les oeufs sont aussi d'habiles égayeurs de restants de la veille, dans ce cas, des pâtes saucisse-cheddar-parmesan. Y a-t-il seulement quelque chose que les oeufs ne rendent pas plus appétissants? Si on reste dans le raisonnable, non.
Le voilà, lui aussi, rompu dans les pâtes, leur inculquant une richesse subtile des plus agréables.
Pour bientôt: un post soulignant un superbe repas où figure des oeufs de caille marinés (!!!).