La pensée du jour

Publié le 02 mars 2010 par Magazinenagg

Rien n’illustre mieux la sclérose intellectuelle et la paralysie politique du Québec que la question des droits de scolarité universitaires.
Si on veut régler une fois pour toutes le sous-financement de nos universités, qui doit faire cet effort supplémentaire ? Comme une formation universitaire est un investissement sur soi, cet effort doit logiquement être fait par ceux qui encaisseront le retour sur cet investissement pendant toute leur vie future : les étudiants.