Les critiques remettant en cause les renseignements donnés par l'auteur avaient fusé dès la sortie du livre, notamment de la part de la famille de l'ingénieur en question. Des universitaires avaient hurlé au scandale, assurant que depuis le temps, ces éléments auraient été connus et qu'une telle révélation sur le lancement de Little Boy, le petit nom d'amour de la bombe, n'aurait pu échapper à la vigilance de tant de spécialistes.
Manifestement, du côté de James Cameron, aucun commentaire n'a été fait - ou personne n'était disponible pour commenter la situation nouvelle. Certaines sources assurent que l'on est en train de vérifier les informations concernant l'histoire du Titanic pour s'assurer que tout est vrai dans ce que Cameron a fait du film...
Blague à part, les 7000 exemplaires aujourd'hui vendus vont donc devenir des oeuvres collector, mais l'éditeur assure que les consommateurs se sentant floués pourront demander un remboursement, qui leur sera accordé. Il leur suffira de se rendre chez leurs revendeurs avec le ticket de caisse...
Près de 18.000 exemplaires ont été imprimés jusqu'à présent. Stephen Rubin, président de la maison se désole : « Sans la confiance que nous pouvons soutenir une oeuvre dans son intégralité, nous ne pouvons continuer à proposer ce produit à nos clients. »