Je perçois donc du tréfonds de mon sommeil une voix douce et suave faisant le lien entre le rêve et la réalité trop brutale..
Bref, ce matin le réveil sonne .. et là … une voix ! Un « mirage auditif » d’un autre monde.. avec un fond de piano pour seul accompagnement (vous l’aurez compris entre Peter Gabriel – mon dernier billet – et Clelia Vega, j’ai du mal en ce moment avec les orchestrations trop lourdes…).
Du coup ne voulant en aucun cas laisser passer le nom de cette charmeuse de serpents, je fus très attentive aux informations de l’animatrice qui ne tardèrent pas à venir à mes oreilles (grandes ouvertes). CLELIA VEGA !
Jamais entendu parler. Pourtant, ce miracle de voix se lance dans un premier « sévice solo » : c’est apparemment son premier album au son folk (sorti le 22 février dernier) - en anglais – (pour info, elle est française !) produit par CYESM, sur le label bordelais Vicious Circle.
Beaucoup de piano et cordes (« Monster ») et de sons électro (« Summer Days »).
Douceur, Force, Profondeur, Emotion (« Are Not » — enregistré avec un léger grésillement comme un son de vieux phonographe, pourrait être une promenade dans les jardins de Gatsby Le Magnifique..), Mélancolie (« Stories People Have« ), Profondeur, Chaleur, Apaisement, Frissons… me viennent… toutes ces sensations mêlées .. les unes les autres s’épousant sans se détruire ni s’annihiler… c’est époustouflant.
Un véritable bijou en boucle sur mes oreilles… et pour un bon bout de temps… c’est certain.
Elle a sa page « Fans » sur Facebook : http://www.facebook.com/pages/clelia-vega/101018518003
Je n’ai pas trouvé de vidéo de l’album mais un autre concert pour vous donner un aperçu :