Un article du monde du samedi 4 octobre 2008, mérite un article de notre part.
Il s’agit d’une étude conduite par la fondation « Roma » sur un sondage fait dans 10 grandes villes du monde. Il montre que les peurs dépendent largement du contexte géographique politique et économiqueJugez en par vous-même :
- Sao Paolo peur de perdre des êtres chers ( 24,8%), de perdre son autonomie suite à un accident ou une maladie ( 19, 8%) d’être victime d’une agression ou d’un vol ( 18, 8%)
- Bombay : 23,6 % autonomie, 22% catastrophes naturelles, 17, 3 % sa maison.
- Le Caire : 23,4% êtres chers ; 17,2% ne pas profiter d’une société en pleine évolution, 16, 6% son autonomie…
- Paris : 23 % perdre des êtres chers, 16,3% : des facultés intellectuelles, 15 % son autonomie.
- Rome : 21 % autonomie, 19, 4% êtres chers, 18,6% facultés intellectuelles.
- Moscou : 20, 4 % autonomie, 19% victime d’une agression, 17, 8% Perdre son niveau de vie.
- New York : 17,2 % perdre son niveau de vie, 16, 6% être victime d’une attaque terroriste, 14,6 % voir éclater une guerre.
- Tokio : 16, 1% catastrophes naturelle, 9, 3% perdre son niveau de vie, 8, 3 % autonomie.
- Pékin : 15,6% victime d’agression, 15,4 % catastrophes naturelles, 15,2% perdre sa maison.
- Londres : 11,8% perdre des être chers, 2,4 % catastrophes, 2,4 % prendre l’avion.
- On remarquer que le taux de peur est ici bien moins important.
De plus on a sondé des individus sur l’optimisme. C’est là où les conditions sont les plus dures (Bombay et Pékin, que ce sentiment est le plus répandu. A Romme ou les élections ont été marquées par le thème de l’insécurité, les habitants expriment majoritairement la peur et l’incertitude..