De l'inédit et des nouvelles versions pour Erik Hassle

Vous le savez, on vous en a parlé en long, en large et en travers, Erik Hassle s'apprête à sortir son premier album au Royaume-Uni (demain physiquement, en fait). Et bon, ce n'est pas parce que Hurtful s'est méchamment mangé chez nos voisins britanniques (perdre 150 places en deuxième semaine, c'est quand même rare), on est fidèle et Erik, on l'aime.Alors, en même temps que Hassle devenait Pieces, nous avons pu y découvrir un lot de modifications. C'est un peu comme si l'album avait été lifté, en fait. Mais non, pas comme ces dindes qui sourient en permanence tellement leur peau est tendue... Non, ici le lifting est vraiment efficace. Pour faire simple, Erik a retravaillé plusieurs chansons :

• Hurtful, de façon très discrète.
• Don't bring flowers de façon un peu plus évidente.
• Wanna be loved également, est le titre en devient encore plus efficace.
• Bitter end (mon titre préféré) de façon... transcendante. Et là, petit bémol, je ne sais trop quoi en penser. En fait, l'originale était déjà tellement efficace que je ne comprends pas la nécessité d'une nouvelle version.

Un inédit est également venu se greffer au tracklisting : Standing where you left me, titre qui vient tout de suite s'ajouter aux tubes évidents de l'opus. Des sonorités 80's (on s'attend à voir surgir Sandra et Kim Wilde, juste avant le refrain).La grosse déception est en fait Amelia qui n'est rien de plus que All that I wanted was you, déjà présent dans la version originale de l'album (et titre faiblard, en plus).
Nous donnons donc à cette nouvelle version de l'album 4,8 étoiles sur 5. Pas moins.