Tâche impossible que vouloir réconcilier Camus et Sartre.
Car enfin...
Alors que Camus...
nonobstant la pauvreté et l’illettrisme, c’est le soleil de la méditerranée, une mer sans pli, l'amitié solide, celle de René Char...
et puis aussi... et surtout...
"L’odeur volumineuse des plantes aromatiques qui racle la gorge et suffoque dans la chaleur… le libertinage de l'homme dans la nature, les concerts d’insectes somnolents..." (Noces à Tipasa – 1936/1937 - édition Folio)
Entre ces deux-là, le silence immense d’une gêne indépassable.