Texte étonnant que cette nostalgie de « para » nourrie de réminiscences d’un autre genre que celles de Marcel Proust... Elles témoignent une fois de plus du génie de Serge et de sa capacité à mettre en correspondance des domaines pas forcément complémentaires. Chanson qui témoigne aussi de son attirance pour le corps militaire, couvert de cicatrices.
Pour les
besoins de la pièce, l’occasion rêvée de faire « exploser le crâne » de ce « débile mental » de « Lunatic asylum » et de
le faire dialoguer avec les infirmières qui soignent le schizophrène ! (Nous étions cinq sur scène à incarner Serge devenu fou à cause de
Marilou !