le Baiser de Brancusi m’apaise

Publié le 26 février 2010 par Desfraises

Une des 5 versions du Baiser de Constantin Brancusi - la première version date de 1907, celle-ci de 1930

Comme je n’ai pas grand-chose à raconter, je recycle quelques pensées immémoriales jetées sur Twitter et consorts. Deux ou trois liens ci-dessous valent leur pesant de cacahuètes, prenez donc la peine d’y frotter votre souris. Je vous dispense, bien entendu, des tweets les plus brèves-de-comptoirs.
Oui, je l’avoue publiquement (mais vous l’aviez deviné), j’ai une addiction pour Internet … et le chocolat, mais je me soigne : je lis des livres, je prends l’air, je déjeune, dîne, picole avec des gens, je serre des mains, embrasse, écoute… Et je ne suis encore ni asocial ni complètement misanthrope.

(Via twitlonger) [bouteille à la mer]
Une pensée émue pour Manon qui a choisi de partir. En elle, une force incroyable, une énergie, un talent. Et un cœur gros comme ça. Manon, où que tu sois, je te remercie de m'avoir accordé ton amitié et te demande pardon de t'avoir abandonnée.

Le Baiser (cf. illustration) de Constantin Brancusi m’apaise.
« En cas de morsure de vipère, sucez-vous le genou, ça fait marrer les écureuils. » (Pierre Desproges) [dédicace en retard pour l’anniversaire de l’ami Gaël]
Je préfère les petits bourgeois parisiens aux petits bourgeois de province.
Tiens ! Le bar-tabac de la rue de Clichy où tu t'envoies ton petit crème, j'le connais par cœur. (lien) [Avertissement: si la variété française des années 80 vous donne des boutons, s’abstenir]
On dirait une poupée en plastique : capture d'écran (triste époque) [Paraît que ça fait rêver]
Instructif ! (lien) (une petite analyse sur les salaires faramineux de certains n'est pas inutile)
Quand l'homosexualité rendait «malade» le traducteur de «Dynastie»... (lien) [Les bras m’en sont tombés : vive le doublage et la pruderie bien de chez-nous]
Combien de traitements aux pesticides subit la pomme que tu manges ? 27 en moyenne ! (lien)
Ca ne me rajeunit pas ça, viens de retrouver un amant d'il y a... 10 ou 12 ans ! (quelques cheveux blancs en plus, les illusions en moins).
Je lis Paris insolite (pourquoi faut-il lire Paris insolite : lien)
Ian, tu veux bien me servir un café, stp? (je m'égare (suite) : je kiffe Ian Lawless (2) (photo)
Culte : Sweet dreams par Sylvie Vartan. [En tout cas, elle sait manier le pied de micro] (vidéo)
Où l'on se fait traiter de "sodomites dégénérés" et de "sacs à SIDA" (lien) / La haine et l'intolérance ont encore de beaux jours devant elles. [L’article a été supprimé, l’auteur continue sa croisade intégriste] [Insultes et agressions sur le parvis de Notre-Dame n’ont été commentés ou condamnés par aucune "frange" progressiste des Catholiques. Qui ne dit mot consent.]
Deuxième personne de l'impératif : VA ! (capture d’écran), je vais finir par croire qu'aucun webmaster ne se corrige ... ou alors ils s'en moquent comme de l’An 40. (Déjà que les journalistes...) (et la réponse instructive de Franck Contat : «Il faut dire à leur décharge que l'impératif a des petites exceptions assez compliquées. Ainsi on écrit "VA voir" mais aussi "VAS-y voir" pour respecter la prononciation (pour une fois que la grammaire respecte la prononciation, on ne va pas s'en plaindre !!! ») (lien)
Entendu sur France Info (j'imagine les autres médias) : "état d'urgence au PSG !" si le PSG perd ce soir * contre Vezoul, ce sera une CATASTROPHE naturelle ?
bonjour Jean-JO :o)
Parisiens, Franciliens ce soir ou demain, apéros-contes dans un bistrot parisien pour vous ! détails: http://is.gd/9em1u (Y vas-tu, Océane ?)

Ressources éclectiques et néanmoins intéressantes :

La page du Centre Pompidou consacrée à Constantin Brancusi : lien,
Mesurer son degré de dépendance à la Toile grâce au test d’Orman (ici),
En Wallonie, on s’intéresse à la cyberdépendance : lire l’article,
Article sur Yagg, à propos des récents débordements et violences sur le parvis de Notre-Dame : cliquez ici,
L'actualité décortiquée par Jean-François Kahn, c'est ici.

* un soir où, à l'instar de Pierre Desproges, je conspuais le sport de « hordes encaleçonnées sudoripares qui se disputent sur le gazon l'honneur minuscule d'être champions de la balle au pied ». (source écrite ou dite par Desproges).