1 Tester les supports : Généraliste ou spécialisé, tout shopbot est bon à tester, quand bien même il n’existe encore pas de rubriques correspondant à ses produits. Pour limiter le risque, prévoir une clause de sortie d’un mois ou deux, voire un caping journalier pour éviter les dérives budgétaires.
2 Analyser les stats : Pas de test sans tracking ROI ! Plus il est ciblé (par emplacement, produit, …), meilleures seront les possibilités d’optimisations. Au global, la transformation et le ROI décideront du sort du shopbot, bien que les résultats statistiques soient à relativiser selon la capacité de l’outil de tracking à affecter les ventes au bon levier (gestion de la rémanence).
3 Faire le tri : Une multitude de facteurs peut influer sur la capacité du shopbot à générer un trafic qualifié vers le site de l’annonceur. Si les barrières techniques ou commerciales ne permettent pas d’optimiser la campagne ou si rien ne laisse présager une amélioration, pas de scrupules, il faut couper ! Un bémol cependant pour le cas des ventes réalisées par téléphone qu’il est difficile d’affecter à tel ou tel levier…
4 Optimiser : Notre shopbot est pertinent, il va falloir en tirer le meilleur profit. Chaque partie a son rôle à jouer : l’annonceur devra s’assurer de la fraîcheur de l’offre qu’il transmet au support et de la manière dont elle apparaît sur le shopbot (exhaustivité, intégrité, actualisation).et sur les emplacements les plus pertinents.
5 Passer par une agence ou en direct ? Chaque formule présente ses intérêts. Dans le premier cas, la force de négociation et le conseil, dans le second cas, la qualité de la relation et la réactivité… L’indicateur coût aura bien souvent le dernier mot !