La littérature populaire et la série des San Antonio.
Une interview ancienne de Frédéric Dard, où il est interrogé par le calamiteux Christian Bernadac (auteur lui-même de bouquins sensationnalistes sur le nazisme, les camps de la mort, les médecins nazis…). Mépris, mauvaise foi, élitisme à deux balles, bref misère intellectuelle.
Pourquoi faut-il toujours en France que l’on crache sur le succès, l’originalité, le courage, et que l’on préfère la cuistrerie, la prose grisâtre, l’obséquiosité et le copinage ?