Affaire sémantique peut-être mais pas seulement.
Les questionnements sur les portails de bibliothèques datent de la période 2004-2007. Ils correspondaient à une volonté d'améliorer qualitativement et quntitativement l'offre en ligne : de services, de contenus.
Les réflexions du jour prennent deux directions :
- tout dans les "nuages" tout est là-bas; le principe de territorialité en prend un sacré coup
- rien dans les poches, sauf un smartphone ; mobilité extrême.
Ces deux directions ( sans doute et sûrement convergentes) changent la nature de l'exercice. Ce qui était conçu comme un ensemble de services ( à l'usager, à l'abonné, aux publics spécifiques, etc...) pourrait devenir une plate-forme d'applications où redevient premier le "besoin" de l'usager/abonné =
- un Opac mobile vous rendrait service, ? et hop !
- bienvenue dans la "Bib apps" et faites vos choix : gestion de compte, derniers doc numériques, nouveautés, et, non, pas les sélections biblio, oui oui les choix jeunesse, et plutôt les conférences après 18 heures
- "et au fait vous me conseillerez quoi comme encyclo en ligne?"
A suivre...