Tu n’es pas seule en toi-même
En toi, il y a deux, trois, peut-être quatre
Je t’épelle – et accrois mon ignorance
Je te lis – et accrois mon éloignement
Ta peau enfantine
Demande:
D’où viens-tu?
De quelle lumière de quelle ombre?
(Adonis)
Tu n’es pas seule en toi-même
En toi, il y a deux, trois, peut-être quatre
Je t’épelle – et accrois mon ignorance
Je te lis – et accrois mon éloignement
Ta peau enfantine
Demande:
D’où viens-tu?
De quelle lumière de quelle ombre?
(Adonis)