La maîtrise du cycle de vie de l’image

Par Photogestion @photogestion

Un objectif multiple : réduction des coûts, sécurité et réactivité

Dans ces temps de récession, la gestion des éléments de communication numériques doivent être optimisés en organisant leur cycle de vie dès la création. La livraison d’un fichier retouché pour une première exploitation par l’entreprise doit déclencher un processus de sauvegarde, de documentation et de mise à disposition pour de futures utilisations auprès des utilisateurs potentiels urbi et orbis : commerciaux, merchandiseurs, communicants, agences, distributeurs, etc. Une démonstration est aujourd’hui possible : l’investissement représenté par la bonne tenue de ce cycle de vie est inférieur aux coûts atomisés constitués par des recherches empiriques (tu sais où se trouve cette image?…), la perte de temps induite (quand pourras-tu chercher ce logo, je suis certain qu’il existe?…), de nouvelles productions redondantes et inutiles (c’est plus simple de refaire, non ?…), des dérapages juridiques (on a déjà payé ! droits échus = procès) et des utilisations inadéquates (trop grand / trop petit, mince, c’est pas notre rouge, c’était du quatre couleurs !…). L’indépendance d’esprit de beaucoup d’acteurs de cette  chaîne, les temps masqués, l’intérêt de certains prestataires et fabricants et l’absence de réflexion sur la gestion d’un ensemble création-production-exploitation rendent mal aisée la mise en place d’un cycle opérationnel maîtrisé au bénéfice de l’entreprise, en terme d’économie, de sécurité et de réactivité. Il faut néanmoins s’y résoudre sous peine de voir réduire d’une manière drastique l’ensemble des investissements de la communication par l’image.

Dans ces temps de récession, la gestion des éléments de communication numériques doivent être optimisés en organisant leur cycle de vie dès la création. La livraison d’un fichier retouché pour une première exploitation par l’entreprise doit déclencher un processus de sauvegarde, de documentation et de mise à disposition pour de futures utilisations auprès des utilisateurs potentiels urbi et orbis : commerciaux, merchandiseurs, communicants, agences, distributeurs, etc.Une démonstration est aujourd’hui possible : l’investissement représenté par la bonne tenue de ce cycle de vie est inférieur aux coûts atomisés constitués par des recherches empiriques (tu sais où se trouve cette image?…), la perte de temps induite (quand pourras-tu chercher ce logo, je suis certain qu’il existe?…), de nouvelles productions redondantes et inutiles (c’est plus simple de refaire, non ?…), des dérapages juridiques (on a déjà payé ! droits échus = procès) et des utilisations inadéquates (trop grand / trop petit, mince, c’est pas notre rouge, c’était du quatre couleurs !…).L’indépendance d’esprit de beaucoup d’acteurs de cette  chaîne, les temps masqués, l’intérêt de certains prestataires et fabricants et l’absence de réflexion sur la gestion d’un ensemble création-production-exploitation rendent mal aisée la mise en place d’un cycle opérationnel maîtrisé au bénéfice de l’entreprise, en terme d’économie, de sécurité et de réactivité. Il faut néanmoins s’y résoudre sous peine de voir réduire d’une manière drastique l’ensemble des investissements de la communication par l’image.

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