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Sur les traces de snorounanne... Paella fait le travail!
Cet éditorial est écrit par moi mais la majeure partie de tout le contenu aura été sensibilisé et aura été subi par mon assistante, Paella.
Dans cette salle et dans cette ambiance de brouhahas paradaient des gens recrutés pour jouer dans les scènes de cette télé réalité. Paella affrontait les grands noms, tels que les Carbonneau et les Bergeron pour l'entrevue. Elle avait croisés la ravissante Julie Snyder, qui, elle, n'avait même pas fait attention aux techniciens, aux personnels de la télé-communication et de Québécor. Paella lui avait fait un sourire enjoué, à cet instant, madame Snyder avait d'autres préoccupations des plus urgentes.
Dédé l'accompagnait à la caméra vidéo et la caméra photo. Tous les deux travaillaient pour la revue 7Jours, cette semaine. Elle était toujours aussi nerveuse que sa première apparition devant les caméras de la télé. Elle échappait au 30 secondes, des soupirs.
Il la voyait agitée, respiration entre coupée. Avant de vous présenter ces entrevues que Paella a tenues bon de les faire en l'absence de snorounanne... voici cet échange entre Dédé et elle, d'il y a une heure.
Bande-Textuelle:
Dédé - Tout ira bien, Paella. Te fais pas de bile. Ça nous met des papillons dans l'estomac, les premières fois et on se rend compte après que c'est de la routine.
Paella - Je sais mais j'arrive pas à me défaire cette image dans ma tête...
Dédé - (Posant la main sur son épaule) Hé... elle va s'en tirer. Je la connais, elle est aussi rusée qu'un renard.
Paella - Elle peut pas s'être volatilisée... tu m'as dit l'avoir vu agenouillée et,... et... (posant une main sur sa hanche et l'autre sur son front, exaspérée était-elle)
Dédé - Non... On ne parle pas de ces choses ici, Paella. Tu en as été bien avisée. J'voudrais pas y être mêlé et pas question que nous en soyons tous mêlés. Ça relève de son état.
Paella - Alors, tu la connais vraiment trop bien, toi hein?
Dédé - (Plaçant la caméra vidéo sur l'épaule) Tu m'excuseras... le travail avant les choses personnelles. (vérifiant le fonctionnement)
Il avait pleinement raison. Le travail avant les choses personnelles. Ce que j'aurais répondu à Paella, si j'étais là. Et je pense qu'elle pouvait entrevoir mes pensées. Elle respirait à nouveau et à fond et suivait Dédé pour débuter les entrevues.
Paella - Bonsoir Stephane Laporte, vous allez bien?
Stephane - Ah bien... (cherchant des yeux rapidement) est où snorounanne? Elle vous a laissés tomber?
Paella - Elle est retenue au lit, une grippe l'indispose. J'aurais trois petites questions à vous poser sur l'émission Montreal-Quebec, cette télé réalité conçu par les productions J au réseau TVA,...
Stephane - Mais oui, gentille demoiselle, allez!
Paella - Ce dimanche 24 janvier pour la grande primeur, cette présentation des 32 candidats sélectionnés pour jouer dans cette série de 8 semaines,...
Stephane - (Riant un peu) Vous savez, snorounanne aurait pas pris des détours comme vous faites. Elle aurait craché le morceau, en disant: Cette série de hockey Montréal-Québec est minable! Du Star Hockeymie copie conforme! Elle aurait fait allusion à Star Académie, vous pensez pas?
Paella - Non, je ne pense pas. Mais, vous disiez dans une entrevue dernièrement que c'était un de vos rêves de jeunesse, un jour, de voir, une telle série à la télé.
Stephane - Oui et je l'affirme encore. (Se croisant les bras avec un air sarcastique)
Paella - Sauf votre respect, monsieur Laporte... dans votre temps de jeunesse... la télé réalité n'existait pas! Alors, oui snorounanne vous aurait dit que c'est une émission des plus minables et piètres jamais vue!
Stephane - Attention à ce que vous dites, ma chère... faut pas mettre la charrue devant les boeufs,...
Paella - J'en ai fini avec vous, merci monsieur Laporte!
Il s'enfourchait dans sa propre vase...
Paella - Monsieur Bergeron, bonsoir! Vous allez bien? Ça fête en grand, ce soir!
Michel - R'gardez-moi cette beauté de p'tite bonne femme! Bonsoir ma belle Paella (l'embrassant sur la joue et lui chuchotant à l'oreille) snorounanne est pas venue? Y a de quoi qui va pas?
Paella - (Lui répondait par un sourire) Monsieur Bergeron, quelle sensation ça vous fait de revivre ces instants de la rivalité entre Montréal et Québec?
Michel - Touuuuuuuuuut un honneur, c'est pour moi d'en faire partie et d'avoir du beau et bon monde y participant. On va s'amuser, croyez-moi.
Paella - Pourquoi vous êtes-vous emporté dès le premier match dimanche dernier? Devait-on revoir le tigre dans ses plus beaux atouts? Donniez-vous du punch à la série télévisée simplement pour que les téléspectateurs embarquent davantage? De l'agressivité...
Michel - Je me suis excusé auprès de tout le monde, lundi hen... mon comportement était irrespectueux. Et ça ne se reproduira plus. Pis euh... est où snorounanne? J'aime ça ses punchs à elle...
Paella - Merci monsieur Bergeron pour cette courte et brève entrevue. (S'éloignant et s'approchant de Guy Carbonneau)
Un peu plus aisé cette entrevue
Paella - Guy! Guy! Guy! Guy! (riant) Bonsoir Guy Carbonneau, ça va bien?
Guy - Paella! Paella! Paella! (riant à son tour) Oui merci, ça va. Et vous?
Paella - Ça va bien, merci. Et que dire de notre cher Guy national, le numéro 21 du Canadien de Montréal se trouvant entraîneur dans une télé réalité comme Montréal-Québec? Pensiez-vous que ça vous arriverait, un jour?
Guy - (Hésitant un peu) Ben, en fait... j'pensais pas faire de la télé sans être vêtu en joueur de hockey.
Paella - Est-ce un rêve de votre jeunesse que vous réalisez?
Guy - Ben... (riant encore) j'pense pas... y en avait pas de ces émissions, dans mon temps.
Paella - Ah oui! Curieux parce que votre collègue Stephane Laporte dit pas la même chose, lui.
Guy - Ah? Y doit pas avoir eu la même télé dans ce temps-là! Ou y fake... (riant)
Paella - Je dirais trop prétentieux qu'il est... merci monsieur Carbonneau et bon succès dans cette série!
Guy - Merci. J'peux vous payer un verre?
Ses yeux se roulaient à cette hauteur un peu gênante...
À la fin de toutes les entrevues, les journalistes en profitaient pour se détendre avec l'équipe du plateau de tournage de la télé réalité, Montréal-Québec.
Paella entendait, à son troisième verre de bailey's, le beep beep de son cellulaire. Elle le prenait dans sa main et l'ouvrait et lu un message texte. On lui demandait de faire une autre entrevue in extremis à un endroit peu recommandé. Elle y allait et Dédé l'accompagait toujours.
Au bout de 53 minutes, Paella tendait le micro et la caméra vidéo tournait. Voici ce qu'il en coulait, mesdames et messieurs:
Lisons ensemble les commentaires de miss caprice à ce sujet...
policière caprice - Ce que nous savons est que snorounanne et FunnyAnne sont la même personne. Sauf qu'elle a une double identité pour son travail pis ça, ben, ce sont ses affaires à elle! Malheureusement, nous ne pouvons divulguer tout, avant que l'accusée passe en court. Et s'il y aura une sentence? Il faut attendre. On parle de FunnyAnne... ben moi, j'ai eu des informations sur son cas dernièrement. J'peux pas en dire plus que ce que je sais pas. Toutefois... elle a fait des confidences à la police et... comme l'autre le dit tellement bien! On a une photo pour vous en mettre plein la vue, mesdames et messieurs! On regarde ça ensemble!
Ouais... elle s'est faite ben mal puncher, notre p'tite comique à nous! Pas drôle ça!
Sur ce... et pendant ce temps... dans ce lieu où les mondes se rejoignent, snorounanne saura-t-elle lutter contre le mal? Pour vous faire conscientiser que la lutte n'est pas que sur le terrestre, ouvrez le minimum votre intérieur et captez cet appel... à part vous soucier de votre nombril et de vos lendemains... écoutez les signes... sachez les entendre...
snorounanne - (Dans un espace étroit et noir, recroquevillée sur elle-même) Mon AnGe... je t'en prie... ne m'abandonne pas.
Et pour ce faire... oui Céline a chanté pour son amie snorounanne. Vous pouvez activer le bouton "jouer" de l'audio et à chaque chanson... vivez-la par votre intérieur. Vous serez toujours plus près que plus loin.
Merci à google pour ces images... merci à vous, lecteurs, lectrices de vous joindre ici à toutes les semaines, pour lire ces chroniques! Merci Paella, caprice et j'ai fait mention de Mon Ange, elle se reconnaîtra, inévitablement.
Bisous!