Techniques informatiques et mises à jours : propos décousus, poils au c... !

Publié le 25 février 2010 par Collectifnrv

Aïe, mes aïeux !

Quelle aventure épique !

Une carte mère qui me fait une grossesse nerveuse, un ordinateur qui se plante avec toutes ses données que je ne retrouverai jamais, l'achat obligatoire d'un nouvel ordinateur avec Windows 7 qui se plante irrémédiablement lors du chargement d'un de mes anciens logiciels, des tas d'emmerdements informatiques ; la panoplie totale du looser de l'informatique !

Bref, comment dire ? De nos jours, il faut se révèler un sacré technicien pour bloguer ! Comme je regrette mon vieil XP !

Et pourtant, je suis plutôt un geek honorable mais sacrebleu, pourquoi nous présente t-on sans cesse des logiciels censés nous faciliter la vie alors qu'ls deviennent de plus en plus nébuleux ? Comment se fait il que la version logicielle de l'antivirus x ver 4.1.4598 est inférieure et de loin à la version 2.1.456 ?

Dites moi les NRV, comment se fait-il, qu'en informatique, 90 % des applications particulières ajoutées au fur et à mesure des soit-disant améliorations d'un logiciel n'apportent strictement rien à son fonctionnement ?

Pourquoi cette incessante fuite en avant de mises à jours, de rectifications, d'améliorations hypothétiques et superflues ? Pour faire du fric ? Pour faire travailler des ingénieurs qui s'emmerdent ? Pour donner l'impression d'être dynamique ?

Qu'apporte donc Windows 7 par rapport à XP (et je ne parle pas de cette merde de Vista !) ? Autant vous répondre tout de suite : RIEN en ce qui me concerne. Ni rapidité, ni confort, ni simplicité. NADA, NUNDA, QUE DALLE !

Alors à quoi sert Windows 7 ? À faire de la thune, du blé, de l'oseille pour Microsoft, mais le consommateur final ne s'y retrouve pas vraiment.

Ainsi va notre monde où les innovations  annoncées sont attendues avec impatience par un petit nombre d'amateurs en rupture de frime. Le iPhone, restera toujours un téléphone, même si on peut écouter des Mp3, regarder la télévision (dans quelles conditions lamentables !) et communiquer sur Internet (avec l'aide d'une loupe !).

Cette course infernale au dernier cri en matière de hardware ne produit pourtant pas davantage de créativité mais simplement du contact superficiel, qui ne fait souvent que signaler le lien de l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours, et qu'on appelle pompeusement "réseau social", et qui n'a autre fin que d'établir un carnet d'adresse bien fourni sans objectif particulier, si ce n'est celui de l'étaler aux yeux de tous comme un trophée démontrant son importance sociale.

Tout ceci pour en arriver là, les pote(sse)s ! Je ne suis pas sûr que les 400 € investis dans mon nouvel ordinateur justifient pareille prose merdique. Je suis bien con, j'aurais dû faire comme certains blogueurs, placer un bouton "dons" en haut à droite et attendre sagement derrière ma caisse enregistreuse mais voyez vous : je suis bien trop impatient...

Voilà donc un billet mal foutu, décousu, tordu, rempli de platitudes. Sûr que ce n'est pas lui qui va nous faire retrouver les sommets d'audience dont vous êtes si demandeurs.

À très bientôt, amis et surtout ennemis de Cui cui, pour un prochain épisode sur la politique.

PS : un grand merci à Agathe et à tous ceux qui ont montré que faute d'être nécessaire, je n'étais même pas indispensable.

Cui cui fit l'oiseau, billetiste néophyte