Encore un cadeau de Merz

Publié le 24 février 2010 par Kalvin Whiteoak

Pour invoquer l’urgence et le droit de faire n’importe quoi, Merz n’a pas son pareil.

Réclamer 1 million de francs seulement à l’UBS pour solde de toute compensation dans l’affaire USA – IRS relève de la sénilité/débilité précoce.

Ou alors d’un sens du devoir face à son ex-employeur qui dépasse l’entendement et tombe pile dans le népotisme payant : le peuple n’a pas à continuer de trinquer pour des escrocs.

UBS, à la caisse, il suffit de vouloir faire une facture. Pendant ce temps, le même Merz veut limer  arbitrairement 5  % des rentes AI et personne ne dit rien. Foutu pays de larves.

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