A travers ce premier travail, Les bois de l'ombre, Maxence Rey cherche à être au plus près de l'humain dans sa fougue à être en vie, dans sa vulnérabilité et fragilité face à la mort, et à explorer le périssable qui nous constitue. Corps brisé, corps entravé, corps absurde, corps frénétique, corps fragile, corps végétal, corps vibratoire, corps aberrant, corps en perte, corps monstrueux, corps en tension…
Explorer ces différents états de vie à travers un corps de femme en perpétuelle mutation. En perpétuelle oscillation entre rêve et cauchemar, entre amusement et obscurité, entre terreur et étonnement, entre étincelle de vie et anéantissement, entre humour et oppression, une femme se débat et louvoie dans ce marasme qu'est la vie.
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Maxence Rey est en résidence d'accueil création depuis octobre 2009.
© Fabien Agnesina