Parmi les auteurs qui ont demandé à ce que leurs oeuvres soient retirées de l'accord on compte Ursula K. Le Guin, Philip Pullman, Jeffrey Archer, Thomas, Pynchon, Gillian Spraggs, James Frey, Victoria Glendinning ou encore Marika Cobbold.
Cette dernière a expliqué : « Ce serait comme confier mon bébé à une baby-sitter que je n'ai jamais rencontrée [et] je n'arrive pas à comprendre ce qui me concerne là-dedans. J'aime Google, et le principe de rendre l'information accessible est formidable, mais les choses vont si vite, et les auteurs perdent tellement de contrôle sur ce qu'ils ont fait que ma crainte est : qui sait dans 5 à 10 ans, comment cette information pourrait être utilisée ? ».
De manière plus générale Gillian Spraggs a monté un groupe pour soutenir la cause des auteurs d'une part devant Google mais aussi devant les lois sur l'économie numérique qui sont en cours de réflexion au Royaume-Uni. Et leur permettre enfin d'être entendus dans les discussions sur la numérisation et le droit d'auteur au niveau européen.