La doctrine en vogue, c'est l'ataraxie, que l'on traduit généralement par « absence de troubles ». Attention, pas mer d'huile ni calme plat, mais vraiment vie débarrassée des tracasseries, ou suffisamment éloignée de ces petites choses qui nous perturbent au quotidien...
En particulier, il faut noter que chez Epictète, le philosophe, pas le chien de Sergio, l'ataraxie s'accompagne d'une autre notion, la pâtée yah ! Ah, non, pardon, ça c'est pour le chien. Pour le philosophe, on dirait plutôt l'apatheia, qui signifie absence (oui, le a- privatif en début de mot) et patheia, qui vient de pathein, souffrir, qui a donné sympathie ou compassion...
En clair, l'absence de souffrances.
Et comme tout cela n'a absolument rien à voir avec l'interview du dessinateur d'Epictète, nous vous proposons de retrouver ses réponses illico...
- Algozzino : pour dessiner Epictète, je me suis cassé le poignet