Le mental

Publié le 23 février 2010 par Brig143

Le mental


Depuis toujours, l'homme sait que les maux du corps sont indissociables de ceux de l'âme.


Mais il faut plus que prendre des décisions pour contrôler les passions et trouver l'équilibre. C'est toute une reconstruction de la pensée qui s'impose.


S'occuper de soi-même, être ami avec soi-même, se respecter, tel est donc notre devoir premier.


La discipline est la démarche nécessaire à la sérénité et à la connaissance de soi. Faire des efforts afin de changer, c'est avant tout se libérer. Ne pas trop demander à la vie, éviter les excès, se conduire humblement sont les règles à respecter si l'on veut évoluer.


Le souci de soi, est une remise en question permanente. Il rappelle qu'il est inutile de spéculer sur certain nombre de phénomènes comme les catastrophes naturelles ou la méchanceté et la bêtise du monde, mais il faut tourner son regard vers les choses immédiates et dont on dépend directement.


On doit se prendre en charge, se transformer, et s'améliorer (techniques de mémorisation du passé, examens de conscience, exercices ayant trait au renoncement, à la discipline, à la retenue, à l'hygiène de vie mentale et physique).


Le seul objet à atteindre et garder toujours, sans avoir à en changer au cours du temps ou au fil des occasions, c'est le soi. Il est en notre pouvoir de nous contrôler, de nous corriger et de trouver la plénitude.


Sénèque écrivait  aussi à Lucillius : « si je fais tout dans l'intérêt que je porte à ma personne, c'est que l'intérêt que je porte à ma personne précède tout. »

Le mental


Depuis toujours, l'homme sait que les maux du corps sont indissociables de ceux de l'âme.


Mais il faut plus que prendre des décisions pour contrôler les passions et trouver l'équilibre. C'est toute une reconstruction de la pensée qui s'impose.


S'occuper de soi-même, être ami avec soi-même, se respecter, tel est donc notre devoir premier.


La discipline est la démarche nécessaire à la sérénité et à la connaissance de soi. Faire des efforts afin de changer, c'est avant tout se libérer. Ne pas trop demander à la vie, éviter les excès, se conduire humblement sont les règles à respecter si l'on veut évoluer.


Le souci de soi, est une remise en question permanente. Il rappelle qu'il est inutile de spéculer sur certain nombre de phénomènes comme les catastrophes naturelles ou la méchanceté et la bêtise du monde, mais il faut tourner son regard vers les choses immédiates et dont on dépend directement.


On doit se prendre en charge, se transformer, et s'améliorer (techniques de mémorisation du passé, examens de conscience, exercices ayant trait au renoncement, à la discipline, à la retenue, à l'hygiène de vie mentale et physique).


Le seul objet à atteindre et garder toujours, sans avoir à en changer au cours du temps ou au fil des occasions, c'est le soi. Il est en notre pouvoir de nous contrôler, de nous corriger et de trouver la plénitude.


Sénèque écrivait  aussi à Lucillius : « si je fais tout dans l'intérêt que je porte à ma personne, c'est que l'intérêt que je porte à ma personne précède tout. »