Moussa Koussa, le sinistre ministre des affaires étrangères et exécuteur des basses œuvres du guide suprême commence à nous casser les burnes avec ses états d’âme.
Il ferait mieux d’aller prendre une mousse avec Hans-Rudolf, de préférence hors de son pays puisque là-bas on ne fait jamais ce qu’on dit et on fait toujours ce qu’on ne dit pas.
Quant au gouvernement helvète, il s’est une nouvelle fois couché en livrant Göldi. Chez nous on ne fait jamais ce qu’on dit. Sinistre farce. Pour rester dans la métaphore, on se réjouit de pouvoir mettre, un jour, le régime libyen actuel et ses oligarques en bière.