12.7.09
« Une vieilles maison rue des rampons, une porte entrouverte sur une histoire si forte qu’il met impossible de l’imaginer concrètement. Un jardin de fleurs intactes qui survie au frontière du temps et qui sent l’oseille dans ma bouche de môme. Deux vieilles femmes qui m’intrigue et capte mes souvenirs les plus profonds et Ciao bella qui ne me quitte pas…
Une envie qui grandit, qui s’accentue dans l’effet de manque, un besoin familiale qui s’édifie à son paroxysme et la triste impression de ne pas être prise au sérieux. L’envie de concrétiser le pas et comprendre enfin que je le ferais pour moi et moi seule. Apprendre cette nouvelle vie, désappointée. Et désirée viscéralement cet enfant qui me ressemblera.
Des amis lointains insensibles à se devenir, un présent ébranlé par la recherche d’objectifs, des mots, des maux et une terrible impression. L’impression de passer « après » !
Ne pas être la boussole tant attendue ou juste un pilier sans grande âme à qui on ne demande pas de partager les mêmes prérogatives. Ce chercher entre ici et demain et retrouver un peu de soi dans l’essence même de ses racines… dans les paroles de son grand-père et dans une vieille maison rue des rampons. »