Mon blog Canalblog est depuis quelques mois un « zombie ». En effet, je poste depuis quelques mois via Posterous, un service qui permet de poster par mail et de rediriger ensuite vers les sites de son choix. En gros, Canalblog est asservi à Posterous ce qui fait que je ne suis plus entré sur le site depuis des semaines. Depuis quelques temps, j’ai autorisé la publication de mes messages sur Facebook et sur Twitter (j’avais un vieux compte que j’ai réactivé). Sans oublier la publication sur Paperblog. J’ai fait le schéma de publication de mes contenus dans ce post.
Et là badaboum, l’audience a explosé sur mon Posterous. Hier, voici l’audience sur mes différents canaux de publication :
· 250 visites via Posterous
· 90 visites via Canalblog
· 90 visites via Paperblog
Je n’avais quasiment jamais eu autant de lectures de mes contenus en une journée. On devrait d’ailleurs oublier la notion de visites (vu l’explosion du nombre de plateformes de publication) et raisonner en terme de nombre de lectures.
Je n’avais pas remarqué cette tendance amorcée depuis 2 semaines grâce à la synchronisation sur Facebook. Voici à mon petit niveau une démonstration concrète du pouvoir de Facebook qui est devenu en quelques jours mon principal vecteur d’audience. Notons d’ailleurs que cet afflux de visites passe sous les radars de Google Analytics que j’utilise pour suivre le nombre de visites sur Posterous. Ce constat est intéressant car il pose également la question de la fiabilité des statistiques de visite de site à l’heure de la synchronisation automatique sur Facebook. J’ai l’impression qu’une part de plus en plus importante du trafic ne pourra plus être tracée par les moyens classiques.
Posted via email from journaldevincent's posterous
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 07 avril à 07:59
Tous ces sites sont bidons car ce ne sont pas des vraies visites mais simplement un logiciel qui va sur ton site et ça fait monter ton compteur mais personne ne te lit ! C'est du vent, de l'intox et les sites de ce genre se font de l'argent sur nous ! Vraiment nul !