Mais le temps a passé et le site de Frédéric ne répond toujours pas. Le message d'erreur 403
s'affiche toujours :
Erreur 403 - Refus de traitement de la requête (Interdit - Forbidden)
Le serveur a compris la requête, mais refuse de la satisfaire.
Une démarche d'authentification n'y fera rien et cette requête ne doit pas être renouvelée. Si la méthode invoquée est différente de HEAD et le serveur souhaite rendre public la raison
pour laquelle il refuse le traitement, il le fera dans l'entité liée à cette réponse. Ce code d'état est souvent utilisé lorsque le serveur ne souhaite pas s'étendre sur les raisons pour
lesquelles il refuse un accès, ou parce que c'est la seule réponse qui convienne.
Vous tentez d'accéder à une ressource qui vous est interdite.
Il se peut que le compte concerné soit suspendu (Cf. Console de Gestion)
Frédéric présumé parti en vacances n'est toujours pas réapparu. Il y avait donc une autre explication. Elle nous a été donnée peu à peu par Jean-Michel Bélouve - pseudonyme de Michel Bénard, papa de Vincent Bénard - sur le site Le Mythe climatique qui assure l'intérim de Skyfal ici.
Dans un commentaire ici à l'article Quelques infos à propos de Skyfal , Jean-Michel Bélouve écrivait le 27 janvier 2010:
"J’appelle Frédéric au téléphone cinq ou six fois par jour depuis une semaine. Pas de réponse. C’est Frédéric lui-même qui m’a donné ce numéro. Peut-être est-il indisponible, parti quelque part pour raison familiale ou autre. Mais peut-être aussi a-t-il peur de quelque chose. Il a été l’objet de menaces précises.
Cette explication des attaques anti-spams qui aurait été la cause de la suspension du site demande à être vérifiée, car elle vient d’un responsable des systèmes d’information du Groupe Iliad qui possède le serveur free.fr. mais la Présidence et la Direction Générale d’Iliad, à qui j’ai demandé des explications ne m’a jamais répondu."
Dans un autre commentaire du 6 février le même écrivait :
"Je persiste à affirmer que cette « disparition » subite n’est pas normale. La communauté WordPress sera certainement alertée et mobilisée pour rechercher la vérité sur cette affaire. Il y va de notre liberté à tous de nous exprimer sur le web. Nous n’avons pas le droit de laisser tomber Frédéric".
Dans un autre du 13 février :
"Frédéric m’avait donné une adresse, et un nom lorsqu’il m’a commandé mon livre. Je pense qu’il s’agit de son nom et de son adresse, à moins qu’il m’ait communiqué ceux d’un ami. Vu l’éloignement, je ne peux me rendre à l’adresse indiquée, mais je pense avoir trouvé la personne de confiance qui va s’y rendre, soit pour le rencontrer, soit pour essayer de savoir par le voisinage ce qu’il est devenu."
Enfin Jean-Michel Bélouve pouvait annoncer le 17 février dans un énième commentaire :
"Un ami bordelais a bien voulu aller sonner chez Frédéric. Celui-ci n’a pas ouvert la porte, mais a communiqué par l’interphone, déclarant qu’il ne pouvait recevoir
le visiteur, qu’il avait de nombreuses préoccupations, et qu’il ne fallait pas s’inquiéter pour lui.
C’est une bonne nouvelle pour l’ami qu’est Frédéric, à qui on ne peut que souhaiter
qu’il surmonte une mauvaise passe, sur laquelle il ne s’est pas expliqué. C’est une moins bonne nouvelle pour le site Skyfal qui ne revivra pas, du moins sous la houlette de Frédéric."
Frédéric est toujours vivant, mais cela n'explique rien. Quelles peuvent donc être les "préoccupations" [la carte des pressions sur la
France provient d'ici] qui ont conduit celui qui disait "même pas peur" quand Spectro Sciences le menaçait de fermeture (voir mon article Spectro
Sciences versus Skyfal : qui est malhonnête ? ) à se terrer et à se réfugier dans un tel mutisme
?
En tout cas, saluons le courage de Benoît Rittaud et d'Araucan, qui essaient de récupérer les archives de Skyfal ici et qui se heurtent au rouleau compresseur de
Free, sans âme, totalement robotisé.
Francis Richard
Nous en sommes au
582e jour
de privation de liberté pour Max Göldi et Rachid Hamdani (de droite à gauche), les deux otages suisses en Libye