Le ministre de l'éducation a annoncé la tenue...
En avril prochain, des états généraux de la sécurité à l’école pour, a-t-il expliqué, que « l’ensemble des acteurs puissent travailler avec du recul sur la question de la violence à l’école ».
Une initiative qui laisse pour le moins sceptiques les syndicats. Il ne faudrait pas que ce soit une réponse politicienne.
La violence est la conséquence de la politique constante de réduction des moyens.
Il faut voir une tentative de museler la mobilisation et de remettre en jeu la sécurité à l’approche des élections régionales.
Quand il y a un problème sérieux, le gouvernement choisit soit de faire une commission, soit de faire des états généraux. Des décisions urgentes doivent être prises. La règle de la calculette ne suffit pas. Il y a des besoins énormes.
Le gouvernement à tort de s’en exonérer.