Les baies d’açaï tirent leur nom d’une légende. L’histoire révèle que ces petites baies sont le fruit d’un palmier au pied duquel une jeune indienne amazonienne prénommée IACA aurait pleuré jusqu’à en mourir. C’est aussi pour cela que l’açaï est également appelé » le fruit qui pleure ».
Fille du chef d’une tribu puissante, cette jeune femme serait morte de chagrin à l’annonce de la mort de son bébé. Pour cause de famine au sein de la tribu, son père aurait décrété que tous les nouveaux-nés seraient tués afin de garantir à la tribu assez de ressources alimentaires. Sa fille ne faisant pas exception, son enfant chéri fut tué. Après quelques jours elle cru entendre son enfant pleurer et se dirigea vers l’endroit ou il avait été enterré. Ce n’était malheureusement pas son petit mais l’essor d’un palmier couvert de fruit. La déception était telle qu’elle s’allongea au pied du palmier et mourut de tristesse et de désespoir. Les autochtones de la forêt amazonienne découvrirent son corps le lendemain. C’est ainsi que ce fruit fut associé à sa tristesse et son père lui donna le nom de sa fille en inversant les lettres. L’ACAI est né est les habitants pouvaient enfin se nourrir à leur faim et retrouver des forces. Le chef de la tribu pu abroger sa cruelle loi. Depuis ce jour, les baies d’açaï et leurs vertus sont appréciés des brésiliens. C’est en 1950 que certains médecins ont commencé à analyser ses effets bénéfiques sur la santé.