Je ne peux m’empêcher de sourire devant l’article de La Dépêche qui, afin d’éviter ce qui pourraient ternir ce déplacement en reste à la surface du dossier et au trop lent "destin commun".
On en oublierait presque qu’il s’agit d’un partenariat baptisé EUROREGION
Pyrénées-Méditerranée et que son assemblée transfrontalière est aujourd’hui présidée par….Georges FRECHE en personne (Le même que les instances du PS aimerait dézingué, vous me
suivez ?). La courtoisie aurait voulu que ce dernier soit présent. Mais les intérêts nationaux du PS et en particulier
de Martine AUBRY prédominent et l’homme à abattre est absent (la photo clôt la dernière réunion officielle)
Tout ceci ne serait pas important si notre Président de région mettait sur la table les dossiers urgents comme, précisément, l’Itinéraire routier rapide transpyrénéen TOULOUSE – BARCELONE souhaité par l’ensemble des acteurs économiques régionaux. Il manque pour la partie française 50 kms de liaison à emménager et un peu moins du côté Catalan.Bref un dossier facile à avancer.Mais les volontés n’existent pas vraiment et les résultats sont criants à la vue des éléments actuels.
Alors l’on en revient toujours au même sujet ; la navette spatiale la
ligne LGV pour 2015 ou 2020…dans le registre demain on rase gratis l’on ne pouvait faire mieux.
Le pire c’est que dans l’intervalle les acteurs économiques travaillent (à l’exemple de l’école supèrieure de commerce de Toulouse) dans des conditions de liaison parfaitement
ubuesque au regard du grenelle de l’environnement. Mais la politique c’est ça ; des manifestations, des photos, des publi reportage des articles sur la PQR mais peu de
réalisme et de concret.