Il a poursuivi par : « mais c'est aussi la période la plus excitante dans mes 23 ans de carrière dans le livre ». Voilà, le ton était donné. Il faut dire que Stephen Page est plutôt favorable aux ebooks. Il s'intéresse à ce marché depuis les débuts et a développé le secteur numérique de Faber & Faber.
Il concède volontiers lire des manuscrits sur son Kindle ou sur son Sony Reader et envisage même l'achat d'un iPad. Peut-être pour entendre son fils de 8 ans lui dire encore une fois : « Papa tu es trop cool » comme ça avait été le cas lorsqu'il a sorti pour la première fois son iPhone.
Toujours est-il que pour lui, l'ebook ne tuera pas le livre imprimé et il les voit cohabiter pendant encore longtemps. Enfin, il a rappelé que l'essentiel pour un éditeur c'est une bonne écriture et ce quelque soit le format.