Parfois, on trouve des choses amusantes en se promenant sur le web. On apprend qu’Uusu cherche des potes sur Facebook, on découvre aussi de vrais combats pour de vraies causes (non que la sienne soit à critiquer). De ces engagements qui poussent d’eux même à la révolte. Alors oui, en ce jour de blocage des transports en commun (bon, OK, j’suis pas parigot donc j’m’en fous un peu mais j’ai cette conscience collective qu’on nomme solidarité et si l’on parle de régimes spéciaux alors pourquoi ne pas les étendre à tous plutôt que de les enlever à certains…je pose la question). Bref, mon combat du jour se tournera davantage vers nos voisins du Nord, la Suède en l’occurrence. La Suède où, je site, « Elles militent pour les seins nus à la piscine. »
Article trouvé à ce sujet (merci Google news):
"Bara bröst" : les seins juste, voilà ce que cette revendication dans ce pays froid du Nord de l’Europe signifie. Tout cela est bien drôle, mais nous avons un doute tout de même sur le respect des fonctionnements psychiques naturels humains, en effet les suédoises veulent, dans ce comité, enlever le haut pour aller à la piscine. Soit. Mais la revendication ne s’arrête pas là, elles souhaitent obtenir en plus le droit à ne pas attirer les regards masculins lorsqu’elles enlèvent le haut.
C’est le journal de l’association OTTAR qui sert de propagande à cette émancipation, tout de même provocatrice. Au départ deux suédoises s’étaient baignées seins nus, et voilà que la surveillance de la piscine les somme de remettre le haut. Refus des deux filles. EXIT ! Virées de la piscine !
Ottar n’hésitant pas à dénoncer les interdits qui, selon lui, « sexualisent et discriminent le corps de la femme »…
Les filles de ce comité veulent que leur mouvement d’action "topless" s’empare de la gente féminine de Suède : "Il est important que les femmes aient les mêmes droits que les hommes. Lorsqu’on nous dit qu’être seins nus, cela risque de susciter une attraction, nous disons que les hommes doivent être capables de ne pas nous agresser parce que nous sommes topless", juge Ragnhild Karlsson, 22 ans, membre du "club".
Ps : je n’ai pas jugé utile de mettre une illustration à ce post, même si cela eut été facile convenez-en (et surtout racoleur en diable). Mais il me semble qu’en la matière, l’imagination a toujours été préférable (en ce qui concerne l’écrit j’entends, ne nous méprenons pas !)
Bon, ben, sur ce, c’est pas tout ça mais, j’ai piscine moi… allez, à plus !Publié par les diablotins