Navrée qu'elle est, J.K. et même plus encore. Attristée par cette plainte à laquelle elle se trouve désormais mêlée, depuis que les ayants droit l'ont ajoutée aux poursuites visant son éditeur.
« Je suis attristée de constater qu'une autre plainte a été déposée, selon laquelle j'aurais pris du contenu d'une autre source pour écrire Harry. Le fait est que je n'avais jamais entendu parler de l'auteur ni du livre avant la première accusation portée par les héritiers chargés de la succession de l'auteur. Et je n'ai certainement jamais lu ce livre », explique J.K.
Elle et son éditeur rejettent en force cette plainte, la considérant comme sans fondement, mais également « absurde ». Mais surtout elle est « déçue que moi et mon éditeur britannique Bloomsbury, soyons mis dans une position où nous avons à nous défendre ».
Paul Allen, qui gère les droits d'Adrian Jacobs, auteur de The Adventures of Willy the Wizard-No 1 Livid Land, est manifestement convaincu que Rowling a été plus qu'inspirée par cette oeuvre.
Il citait notamment le train qui permet de se rendre dans l'école où les magiciens reçoivent leur formation, ou encore une séquence dans une salle de bain, très proche de celle que l'on retrouve dans La coupe de feu.