Cest la conclusion que l'on peut retirer sans crainte d'un rapport d'un groupe de travail mis en place par cet excellent organisme qu'est la Commission
européenne.
Présentation sur le blog de Jean-François Couvrat, du Monde. En gros, au maximum
il y aura, pour la France, un surcoût de 2,7 points de PIB à financer pour couvrir les besoins, pas plus que ce qui a déjà été absorbé entre 1980 et 1993.
On retient que la variable clé en matière de retraites (comme en matière de santé), c'est le taux de croissance. Seuls les mauvais esprits souligneront que la zone euro a justement le taux de croissance le plus bas de la planète...