R comme… Rouge, O comme… Oser, U comme Unique, G comme… Gabrielle, E comme… Élegance à la française, C comme… 31, rue Cambon, O comme… Or, C comme… Camélia, O comme… Oh là là !
Un abécédaire autour des lettres de Rouge Coco, pour célébrer la sortie de la nouvelle gamme de rouge à lèvres de la maison Chanel. Neuf mots ayant tous un rapport avec l’histoire de Mademoiselle.
« Essayer de séduire les femmes qui ont perdu le touch du rouge à lèvres », voilà l’objectif que c’est fixé Peter Philips (directeur international de la création du maquillage) avec cette nouvelle gamme. Il dédie sa collection à toutes celles qui ont peur du rouge à lèvres, qui ne sont habituées qu’au gloss ou au nude mais « qui restent intriguées par cet objet ».
Pour celles, je le cite, « qui pensent que le rouge à lèvres ce n’est que pour les vieilles dames… »
Référence à l’histoire de la marque et projection
Pour toutes ces femmes et jeunes filles, Peter Philips essaie d’apporter une réponse avec une approche très accessible, très simple d’application, mais avec une qualité très Chanel, traditionnelle, voire vintage.
Cette tradition se retrouve par exemple dans le design timeless, standard et dans les lignes pures de l’étui crée par Mademoiselle. La modernité s’exprimant dans le choix du matériau, on à ainsi évolué de la bakélite de 1954, au métal plus froid, plus lourd, mais aussi plus luxueux.
Retrouver le geste
Peter Philips insiste sur le fait que la (re)découverte peut se faire par une autre teinte que le rouge vif, d’où une collection rassemblant 37 teintes au total. L’essentiel étant pour lui de retrouver « le geste ».
Quoi de plus beau en effet, que le geste d’application du rouge à lèvres ? Redécouvrir ce geste est déjà un grand pas en avant, vers plus de féminité peut-être ?
La symbolique du lipstick rouge carmin est encore très forte dans notre culture. Il véhicule les idées de féminité, de force, de pouvoir et de séduction, très Carmen tout çà.
Ci-dessus les 20 teintes du cœur de gamme, qui seront complétées par 17 teintes « locales »
Pour sublimer le tout la maison Chanel à choisi comme égérie notre Vanessa Paradis, dont je suis un grand fan. De « Joe le Taxi » à sa collaboration avec Serge Gainsbourg, du film publicitaire Coco de 1992 au spot visible dans quelques semaines réalisé par Jean-Baptiste Mondino, Vanessa Paradis s’impose comme la personne idéale, moderne et accessible.
En exclusivité, le making of de ce spot « relax » et « spontané », qui va devenir rapidement une référence.
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« Qui qu’à vu Rouge Coco », le titre du billet, fait référence au morceau « Qui qu’à vu Rouge Coco dans l’Trocadéro » que Gabrielle Chanel chantait à ses débuts dans les caf’conc.
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