Le ton monte après la décision de Philips de fermer son site. Partagés entre résignation et colère, les salariés ont dénoncé une "méthode de cow-boy". Selon Dominique Maillot, secrétaire général de l'union locale FO, les dirigeants "ont voulu priver les salariés de toute action syndicale" [*] Et comme dirait la syndicaliste CGT :
"Philips nous traite pire que des chiens, car les chiens eux sont à l'intérieur de l'usine"