Cela faisait un petit moment que nous n'avions pas relancé le principe des articles "Et si ?", un court exercice durant lequel on pouvait émettre des souhaites, des doutes, des questions, bref de partager des instants de joueurs. Si le premier avait été consacré à Zack & Wiki et la possibilité d'une suite avec support du Wii MotionPlus, le second article concerne, par la force indicible du hasard, également un titre Capcom : Street Fighter IV et le pourquoi du comment de son absence sur la console de Nintendo.
D'autant que l'actu s'y prête de bien belle manière : la sortie du très bon Tatsunoko VS Capcom en Europe mais surtout l'annonce par Capcom de la prochaine arrivée de Ryu, Ken et toute la clique sur iPhone/iPod Touch. Et c'est bel et bien ce dernier fait qui nous fait bien marrer en fait. Non pas que l'on se moque de la plateforme d'Apple, loin de là, mais des déclarations de certains membres de Capcom clamant que Street Fighter IV ne pourrait jamais voir le jour sur Wii, la faute à la puissance trop limitée du support.
Alors, à moins que ces derniers sont des collabos et soutiennent activement le front des acteurs hollywoodiens incultes en jeu vidéo et dirigé par Shia LaBoeuf (voir article par ailleurs), on ne peut que se poser une question on ne peut plus simple : est-ce que le fait de voir le jeu de baston sortir sur iPhone/iPod Touch pourrait être synonyme d'une bonne nouvelle pour ceux qui l'attendent du côté de la Wii ?
D'autant que la sortie prochaine de Super Street Fighter IV pourrait être le bon moment pour également amorcer un virage vers la console de salon de Nintendo chauffée à blanc depuis Tatsunoko. vs Capcom... et ce sera le seul jeu de baston à venir. Un terrain fertile malgré le public majoritairement casual ? Oui, pourquoi pas. D'autant que Capcom se plait à sortir toutes les déclinaisons possibles et inimaginables sur Console Virtuelle. C'est qu'il doit bien y avoir une cible à viser, non ?
Et comme disait Roger Bacon : "Ne lisez pas pour contredire ou pour réfuter, ni pour croire et pour accepter sans approfondir, mais pour peser et pour réfléchir."
Précisons que le texte n'a aucune volonté de faire naitre de faux espoirs, il ne doit être considéré que comme un plaisir rédactionnel.