Une échappée dans un conte populaire que je n'aime pourtant pas, juste cette fuite dans la forêt.
Cette peau en déguisement, devenir moins conventionnelle, plus sauvage, voire devenir un peu animale: un centaure plus qu'un sphinx d'ailleurs.
Alors oui, pour carnaval j'aurais aimé la peau de l'âne ou la peau du loup, vous savez de "Max et les Maximonstres". Ce livre de SENDAK, dont je parle là, m'aurait sûrement fait vibrer en plus de mes autres livres sur les animaux sauvages dont je parle ici.
Cela donne envie de regarder une enfance, une adolescence, rêvée, une envie de réinventer ce qui n'a pas eu lieu... de photographier... La série de photo de Margaret de Lange propose ses filles avec une délectation contagieuse. Regardez donc ce billet du Boudoir des marais.